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"Herbe" à Lampaul Plouarzel

Le film documentaire “HERBE” est enfin dans le coin…. Il sera projeté ce soir à Lampaul Plouarzel à 20 h 30 au Centre d’Action Communal.

De quoi ça parle ?

“Au cœur de la Bretagne paysanne, deux visions du métier d’éleveur laitier se confrontent.

Alors que des Hommes se sont engagés depuis plusieurs années dans une agriculture autonome, durable et performante, le courant majoritaire de la profession reste inscrit dans un modèle de production industriel, fortement dépendant des groupes agricoles et agro-alimentaires…””

Ils l’ont vu et nous donnent envie d’y aller :

“Depuis quelques années, les documentaires sur l’écologie ou le monde paysan se multiplient. Signe que la planète tourne de moins en moins rond et/ou que les cinéastes, enfin, s’en inquiètent. A mi-chemin entre l’alar misme de We feed the world et l’humanisme de Depardon (sa trilogie Profils paysans), voici un documentaire en forme de road-movie sur les éleveurs laitiers bretons, où l’on apprend que, contrairement à l’idée reçue, les vaches ne mangent presque plus d’herbe ! Selon l’absurde modèle productiviste imposé dans les années 1970, au lieu de brouter des pâturages gratuitement, 90 % de nos vaches sont nourries au maïs et au soja brésilien génétiquement modifié, ce qui a pour conséquence de ruiner leurs propriétaires (en engrais, machines, semences, pesticides…), de les rendre dépendants des subventions de Bruxelles, et surtout de polluer nos rivières par l’azote et autres produits chimiques. Partisans de la minoritaire filière herbagère, à la fois plus durable et plus rentable, les auteurs font passer leur message sans manichéisme et sans illusions.”

Télérama – Jérémie Couston

“(…) On se croirait dans un reportage du JT de 13H sur TF1, mais avec l’intelligence en plus et le voyeurisme en moins, ça change la donne donc (…)”

Brazil – Tony Grieco

“(…) Ce n’est pas une chronique contemplative et nostalgique à la Depardon, mais une enquête sur le terrain qui fait rencontrer de vrais personnages, souvent attachants. De plus, elle n’est pas exempte d’atouts esthétiques. Au-delà de son aspect pratique, économique, politique, ce film, qui juxtapose la vision d’animaux nourris avec des granulés, parqués dans des blockhaus de béton et d’acier pleins de tuyaux, au cliché bucolique de la vache dans le pré, est également une célébration de la nature.”

L’Humanité – Vincent Ostria

“(…) Ce film pose de bonnes questions et remet en cause ce qu’on croyait savoir.”

Nature & Progrès – Elodie Bralia

“(…) Sans parti pris, les réalisateurs brossent un état des lieux passionnant. Une idée domine : la nécessité d`une éthique à reconquérir.

Le NouvelObs

A voir absolument….

Alors ce soir (vendredi 13 mars 2009) à Lampaul Plouarzel ou encore partout dans le Finistère :

Samedi 28 mars à 16 h 00 : La Salamandre à Morlaix

Dimanche 29 mars à 14 h 30 : Le Dauphin à Plougonvelin

Dimanche 29 mars à 20 h 30 : L’Agora à Châteaulin

Lundi 30 mars : Le Majestic à Saint Pol de Léon

Mercredi 1er avril : L’Etoile à Carantec

Jeudi 2 avril : Le Club à Douarnenez

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Une nouvelle projection de "Nos enfants nous accuseront"

“NOS ENFANTS NOUS ACCUSERONT”

Réalisateur : Jean-Paul JAUD

Date de projection : jeudi 26 février à 20 h

Salle : Cinéma “Le Bretagne” – Plougastel Daoulas

Pour tous ceux qui ne l’auraient pas encore vu, bonne nouvelle, le film documentaire “NOS ENFANTS NOUS ACCUSERONT” de Jean-Paul Jaud repasse cette semaine au Cinéma “Le Bretagne” à Plougastel.

Pour ceux qui ne connaîtraient pas encore, voici en quelques lignes la présentation de ce documentaire très instructif, enrichissant et tellement émouvant.

Il s’agit de l’éclairage des liens entre l’agriculture chimique et la santé, autour d’un reportage sur une expérience dans la commune de Barjac dans le Gard, où le maire a imposé la nourriture bio à l’école et au portage à domicile (personnes âgées).

“C’est une affaire de conscience…” dit le Maire !

A voir, à voir ABSOLUMENT !!! et même A REVOIR !!!

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"HERBE" : un film à voir absolument…

“HERBE”

Un film, un film documentaire de Matthieu Levain et Olivier Porte ; Montage : Matthieu Levain et Alexandre Teboul ; Musique : Emmanuel Levain ; Image : Matthieu Levain ; Son : Olivier Porte ; Durée : 76 mn

Sortie en salle le 18 février 2009.

Un nouveau documentaire est sorti aujourd’hui, un film à ne pas louper pour tous les adeptes des “road-movies paysans” !

Qualifié de road-movie paysan par ses auteurs, “HERBE” sillonne les routes de Bretagne à la rencontre des éleveurs de vaches laitières. Matthieu Levain et Olivier Porte signent ici un documentaire primesautier qui épingle les dysfonctionnements d’un système arbitraire.

L’alimentation des bovins se composerait aujourd’hui principalement de maïs fourrage mêlé à des granulés de colza et de soja assurant l’apport en protéines dont l’herbe est naturellement pourvue. Alors pourquoi ne pas tout bonnement emmener les bovins paître dans les prés ? C’est justement à ce débat que nous convient les réalisateurs d’Herbe, film partisan sans être manichéen. Et à travers le cas des producteurs laitiers bretons, ils mettent en lumière le lobbying des coopératives et les dérives de la Politique Agricole Commune (PAC).

Nouvelle vague

Une quantité croissante d’éleveurs préfère laisser le cheptel brouter l’herbe des prés plutôt que les nourrir avec des céréales importées du Brésil ou des Etats-Unis. Cette alternative a emporté l’adhésion de Levain et Porte qui ont baguenaudé en Bretagne d’une ferme à l’autre afin de présenter les avantages de ce système d’agriculture durable. Mais loin de se limiter à un dithyrambe stérile, leur documentaire rapporte adroitement le point de vue des détracteurs de cette pratique. L’absence de voix-off témoigne du même souci d’équité, à défaut d’impartialité. Les réalisateurs ont par ailleurs opté pour un habile montage où les intervenants et les scènes se répondent.

André Pochon, par exemple, milite pour un retour au système « herbager ». Et c’est un plaisir que d’écouter cet agriculteur à la retraite exposer sa fameuse méthode de prairies de trèfle blanc qui exige peu d’engrais. Les couleurs de la nature alentour, même sous une pluie fine, illuminent cette séquence et contrastent avec l’atonie des images filmées à l’intérieur des hangars productivistes où les vaches sont alignées. Tandis que les unes sont emprisonnées à l’usine, les autres vaquent librement dans les prairies. Car les partisans de l’herbe prônent un modèle autonome et peu coûteux, tout en admettant qu’il s’agit d’un système sur le fil où l’on connaît chaque année un passage difficile.

La tradition de la qualité

C’est justement cette sujétion aux caprices du temps que refusent les défenseurs du maïs fourrage. Le documentaire nous révèle néanmoins le joug tout aussi pesant sous lequel ces derniers vivent : celui de l’emprunt que les ont incité à contracter les coopératives agricoles. En effet, celles-ci poussent les éleveurs à s’endetter pour investir dans des bâtiments onéreux et des installations dernier cri. Il faut alors voir cette scène où le repas des bêtes évoque les Temps modernes : chaque vache est équipée d’une puce électronique indiquant sa production de lait à un ordinateur qui l’engraisse en conséquence.

Mais Herbe met également à jour un paradoxe : c’est cette agriculture industrielle qui apparaît aujourd’hui « traditionnelle » et qui se trouve encouragée. C’est elle qui se voit offrir six à sept fois plus de primes que la filière herbagère. Mais ces exploitants productivistes confessent cependant à la caméra qu’ils peinent à rembourser leur crédit et à se dégager en outre de quoi vivre. Et malgré leur profond désaccord avec cette approche de l’élevage, Levain et Porte ne peuvent dissimuler dans cette séquence l’empathie qu’ils éprouvent à leur égard. Car là réside sans doute le vrai mérite de cet heureux documentaire : dénoncer avec élégance, sans condescendance ni forfanterie.

Pour en savoir plus, allez sur le site, et parlez-en autour de vous !

www.herbe-lefilm.com

“Si vous voulez savoir pourquoi des paysans préfèrent travailler plus, s’endetter plus, gagner moins, pour élever des bêtes qui mangent du maïs et du soja OGM acheminé sur des milliers de kilomètres, plutôt que de simplement les laisser brouter l’herbe, regardez ce film ! Un film d’une grande simplicité, simple comme l’herbe…”

Cyril DION, Directeur du Mouvement pour la Terre et l’Humanisme.

Ciné Cabaret "Hors Champs"

HORS CHAMPS“, un Festival de films de jardins et de jardiniers, qui aura lieu à Brest, du 2 au 4 octobre 2009. 3 jours de rencontres autour d’une programmation de films sur le thème “LES JARDINIERS“.

Pour annoncer ce Festival, une soirée Ciné-Cabaret est proposée ce MARDI 9 DECEMBRE à 20 h 30 au Vauban (Brest).

L’entrée est libre… Venez nombreux…

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les mains dans la terre, la tête dans les images

Il l’a réalisé, il en PARLE

Jean-Paul Jaud, le réalisateur du documentaire “NOS ENFANTS NOUS ACCUSERONT” était présent jeudi soir au cinéma “Le Bretagne” à Sain Renan pour la projection du film et pour le débat proposé en 2ème partie.

Tout simplement, il parle de son film comme “Un HYMNE A LA VIE, un HYMNE A LA NATURE” !

Interviewé par la presse locale, voici le jeu de “questions-réponses” qui permet de mieux comprendre le pourquoi-comment de ce film ENGAGE et MILITANT

(Extrait du Télégramme du jeudi 4 décembre 2008)

Quel est le message principal du film ?

J. P Jaud : “Le message du film ? Il est très simple : il est impératif d’arrêter de manger de la nourriture chimique issue d’une agriculture mortifère. Une agriculture responsable à elle seule de 30 % du réchauffement climatique. Rien que ça…”

Quels exemples donnez-vous dans votre documentaire pour illustrer ces propos ?

J.P Jaud : “Il y a des chiffres qui parlent d’eux-mêmes. Un exemple : pour produire une tonne d’engrais chimique, il faut 2,5 tonnes d’énergie fossile. Chaque année, ce sont 148 millions de tonnes de nitrates qui sont fabriqués de par le monde. Je vous laisse faire le calcul… Sachant qu’à cela, il faut ajouter les dépenses énergétiques liées au transport de ces matières.

On a réussi à détruire vingt siècles de biodiversité en un demi-siècle : 30 % des espèces du vivant ont déjà disparu. Il nous reste vingt ans pour agir.”

Dans quelles conditions s’est déroulé le tournage ?

J. P Jaud : “Nous avons tourné une année scolaire complète, entre 2006 et 2007, à Barjac, un petit village de 1 500 habitants situé dans le Gard où la municipalité a eu le courage de prendre des mesures fortes. Le coeur de ce documentaire restant la nature et le mal qu’on lui fait”.

Sorti le 5 novembre, votre documentaire semble faire de plus en plus parler de lui…

J.P Jaud : “Il est sorti dans 21 salles pour commencer. On doit en être à 28 aujourd’hui. Elles se remplissent de jour en jour. Je pense que c’est normal que les gens s’accaparent le film, car il traite de faits qui concernent tout le monde.”

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Homme de télévision, Jean-Paul Jaud s’est notamment occupé des directs de Canal + avant de réaliser la série

des “Quatre Saisons”.

Il signe un film à la fois militant et engagé.

Sans équivoque possible, un film à l’image de son discours….

Encore de la réflexion et du ciné-débat

Un nouveau documentaire à découvrir et du ciné-débat. Il s’intitule “L’Assiette Sale“, il a été réalisé par Denys PININGRE et aborde l’esclavage moderne, l’agriculture intensive, la grande distribution et s’il existait une alternative à ce cycle infernal ?

Un débat possible avec le réalisateur lors des projections prévues les jours prochains, à savoir :

– à Landerneau, à la Salle Municipale, le vendredi 28 novembre à 20 h 30

– à Morlaix, à la Salamandre, le dimanche 30 novembre à 17 h

– à Lesneven, à la Salle Even, le lundi 1er décembre à 20 h

Et pour en savoir plus sur le film :

Chaque année, le département des Bouches-du-Rhône accueille 5000 ouvriers agricoles saisonniers étrangers. Sans eux, l’agriculture dans ce département n’existerait pas. Les conditions de travail, de logement et les salaires qui leur sont imposés sont dans de très nombreux cas indignes.

Il suffit de rappeler qu’aucun droit à l’ancienneté ne leur est accordé, quand certains viennent en France depuis 30 ans, que leur couverture sociale s’arrête à nos frontières alors que certains traitements chimiques dans les plantations provoquent des maladies « à retardement », cancers ou Parkinson… et la liste est encore longue.

Le film décrit cette situation et remonte les mécanismes qui l’engendrent. Au passage, il fustige l’agriculture intensive, ses excès et les dangers qu’elle suscite, pour aboutir à la description des méthodes de la grande distribution. La quasi-totalité du marché des fruits et légumes est concentrée entre les mains de six centrales d’achat, qui disposent ainsi de tous les moyens de pression sur les producteurs français et étrangers pour obtenir des prix toujours plus bas, et permettent des marges toujours plus élevées…

Devons nous subir sans rien dire, accepter qu’à nos portes se pratique une forme moderne de servage ? Et nous rendre malades à force d’ingurgiter les résidus de fongicides, pesticides, engrais chimiques, tandis que la terre se gorge de ces produits qui se retrouvent ensuite dans la nappe phréatique ? Est-ce une fatalité ?

Le film montre qu’au contraire, d’autres formes d’agriculture existent, qu’elles permettent la pérennisation d’exploitations viables, à taille humaine, et souvent un mode de relation directe entre le producteur et le consommateur.

Opter pour une autre forme de consommation, refuser de manger des tomates « hors-sol » en hiver, et retrouver le goût des produits naturels, fruits et légumes de saisons cueillis murs et distribués immédiatement, c’est à la fois garantir une vie plus saine à nos enfants et manifester son désaccord vis-à-vis des catastrophes engendrées par le libre-échange qui ne profite qu’à une poignée de privilégiés et empoisonne le reste du monde !

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"Huis clos pour un quartier"

Dans le cadre du “Mois du film documentaire”, les bibliothèques municipales de Brest proposent un film de Serge STEYER sur la problématique de l’urbanisme et de la démocratie locale.

Ce film intitulé “HUIS CLOS POUR UN QUARTIER” sera projeté aux Studios à Brest le JEUDI 27 NOVEMBRE 2008 à 14 h et à 18 h, suivi d’une rencontre avec le réalisateur.

Voici en quelques mots, le sujet abordé par ce documentaire :

“Dans une petite ville, une nouvelle zone est à urbaniser. Les acteurs : des élus volontaires, de jeunes urbanistes qui veulent en finir avec la banlieue pavillonaire, des promoteurs et un architecte qui défendent leurs intérêts. En suivant durant plusieurs mois les tractations entre élus et professionnels de l’immobilier, le film nous plonge au coeur de la démocratie locale”.

Pour en savoir plus, sur le “Mois du Film Documentaire” : www.moisdudoc.com

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Un très beau cri d’alerte mais aussi d’amour…

Ils en parlent si bien que nous vous le faisons partager, des réactions qui donnent trop envie d’aller le voir, “le film plaidoyer en faveur du bio” : “Nos enfants nous accuseront” de Jean-Paul Jaud.

www.nosenfantsnousaccuseront-lefilm.com

“Le film de Jean-Paul Jaud m’a bouleversé. C’est un très beau cri d’alerte mais aussi d’amour. C’est aussi le respect de la vie, du vivant et de nos enfants. L’alimentation est au coeur de notre bien-être et de notre savoir-vivre. Mais depuis 30 ans, l’agriculture traditionnelle s’est fourvoyée dans une marche insensée vers le toujours plus en quantité et toujours moins en qualité. Aujourd’hui, se nourrir n’est pas synonyme de diversité des goûts et de bonne santé, mais d’uniformisation et de risques sanitaires larvés. Mais au-delà de la nécessaire prise de conscience à laquelle nous appelle Jean-Paul, il y a aussi cet hymne à la vie, à la redécouverte de la saveur et de la qualité grâce à l’Agriculture Biologique, une agriculture respectueuse des hommes et de la richesse des terroirs. C’est la raison pour laquelle le WWF France a souhaité soutenir de toute son énergie ce superbe documentaire. Nous sommes à l’orée du temps où va se révéler le lien entre l’état de notre santé et l’environnement”.

Serge ORRU, WWF France

On ne peut que vous inviter à aller le voir, et pour rappel il passe à Brest le JEUDI 27 NOVEMBRE à 20 h aux Studios.

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Le documentaire à ne pas louper

Petit RAPPEL pour ceux qui auraient oublié ou ceux qui ne le sauraient pas encore. Le fameux documentaire “NOS ENFANTS NOUS ACCUSERONTdernièrement sorti sur les écrans sera ENFIN projeté dans la région brestoise. Des dates à caler dés aujourd’hui dans l’agenda et le planning de la semaine ou même des semaines à venir !

“Nos enfants nous accuseront” part de l’initiative d’une municipalité du Gard qui décide d’introduire le bio dans la cantine scolaire du village. Le documentaire de Jean-Paul Jaud entend dénoncer l’empoisonnement des campagnes par la “chimie agricole” et les dégâts qu’elle occasionne sur la santé publique, notamment celle des enfants.

Biocoop Finisterra propose par ailleurs d’agrémenter cette projection par un débat en partenariat avec la Maison de l’Agriculture Biologique.

Jeudi 27 novembre aux Studios à Brest à 20h

Jeudi 4 décembre au Bretagne à Saint-Renan à 20h30 en présence du réalisateur

Mardi 9 décembre à l’Even à Lesneven à 20h30

Venez très NOMBEUX…

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