Pendant que certaines agrémentent les fonds de quartier (cf “vachenville”), d’autres génisses paissent dans des champs plus “classiques” mais c’est tout autant le bonheur de gambader au champ (après plusieurs mois au sec à l’étable), de déguster la bonne herbe de printemps (ou presque) :

et quel bonheur de retrouver son maître !!!

Qui a dit qu’une vache ne reconnaissait pas son maître ???
A SUIVRE….