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Pensées de Toussaint

Aujourd’hui jour de la Toussaint, Glou Glou, notre dindon favori du poulailler pédagogique, a décidé de nous quitter. Il n’a pas supporté l’arrivée de l’hiver et les premiers froids.

Tristesse donc à la Ferme de Traon Bihan, car le Glou Glou était d’une gentillesse remarquable pour un dindon, on l’avait vraiment apprivoisé. Et il aimait tellement qu’on l’appelle et qu’on admire sa roue et qu’on rigole de son “glouglou”.

Il va nous manquer, comme tous les autres qui nous ont quitté.

Pensées en ce jour de Toussaint toutes particulières pour Pompon, Frimousse…. et les autres bien sûr !!

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Un film documentaire CHOC très bientôt au cinéma

Mercredi prochain, le 5 novembre 2008, sort sur les écrans un FILM DOCUMENTAIRE CHOC de Jean-Paul Jaud : “NOS ENFANTS NOUS ACCUSERONT”

Pour tous les personnes sensibilisées au bio et qui se préoccupent du respect de l’environnement et surtout des impacts sur notre santé, un événement à ne louper sous aucun prétexte !

En résumé :

Chaque année en Europe 100 000 enfants meurent de maladies causées par l’environnement. 70% des cancers sont liés à l’environnement dont 30% à la pollution et 40% à l’alimentation. Chaque année en France, on constate une augmentation de 1,1% des cancers chez les enfants. En France, l’incidence du cancer a augmenté de 93% en 25 ans chez l’homme. Dans un petit village français au pied des Cévennes, le maire a décidé de faire face et de réagir en faisant passer la cantine scolaire en Bio. Ici comme ailleurs la population est confrontée aux angoisses contre la pollution agro chimique. Ici commence un combat contre une logique qui pourrait devenir irréversible, un combat pour que demain nos enfants ne nous accusent pas.

C’est la première fois, sans doute depuis Le Monde du silence de Jacques Yves COUSTEAU (Palme d’or du Festival de Cannes 1956), que le cinéma français s’intéresse à un sujet sur l’environnement. Si la préservation de l’univers marin était déjà une cause précieuse, celle de l’alimentation de nos enfants l’est bien plus encore. Pour ne pas dire urgente. Après avoir parcouru les paysages sensoriels français avec sa série des “Quatre Saisons pour…”, Jean-Paul Jaud fixe l’objectif de sa caméra sur une tragédie environnementale : l’empoisonnement de nos campagnes par la chimie agricole et les dégâts occasionnés sur la santé publique, notamment celle de nos enfants.

Le film “Nos enfants nous accuseront” raconte la courageuse initiative d’une municipalité du Gard, Barjac, qui décide de faire passer la cantine scolaire au bio, en finançant le surcoût sur le budget de la commune. Conscient du danger sanitaire qui menace une jeune génération exposée aux 76 000 tonnes de pesticides déversées chaque année sur notre pays, un maire décide de prendre le taureau par les cornes en donnant un exemple d’une politique sans comparaison. Alerter l’opinion et les pouvoirs publics sur les dérives scandaleuses d’un système économique qui fait passer ses profits et ses intérêts avant la santé de la population.

Consulter le site officiel du film Les différents intervenants du film, enfants, parents, enseignants, soignants, journalistes, paysans, élus, scientifiques, chercheurs, livrent leurs sensations, leurs analyses, leurs engoisses, leur colère, le fruit de leurs travaux à la caméra. Chacun raconte son expérience, dénonce les abus, pose les problèmes, mais tous proposeront des solutions, à condition que les différents organes de décision prennent leurs responsabilités. Des témoignages édifiants et bouleversants sur une réalité qu’il est urgent de maîtriser. Combien de maladies, de tumeurs, d’infirmités, de tragédies humaines sont-elles entrain de proliférer sans que l’on ne fasse rien, ou si peu ?

Le film commence à l’Unesco, lors d’un colloque réunissant des sommités mondiales de la médecine, signataires de l’Appel de Paris.

Un seul mot d’ordre :

Non pas se contenter de constater les ravages, mais trouver tout de suite les moyens d’agir, pour que, demain, nos enfants ne nous accusent pas de les avoir abandonnées.

UN FILM AU SERVICE D’UNE VERITE QUI BLESSE….

Pour en savoir encore plus avant la sortie : www.nosenfantsnousaccuseront-lefilm.com

En savoir plus sur le potimarron

Halloween oblige, un beau potimarron tout orange dans le panier de légumes bio ce vendredi.

Mais est-ce que vous connaissez vraiment cette étrange courge ? L’occasion aujourd’hui de vous raconter son histoire :

Son origine reste obscure mais si, on le retrouve en Amérique, on sait qu’il est également cultivé en Extrême-Orient depuis des temps immémoriaux.

La qualité de sa chair vous surprendra et vous serez séduits par ce fruit asiatique rappelant la saveur de la purée de châtaignes.

Plante de la famille des cucurbitacées, le potimarron est “coureur”, ses tiges rampantes mesurent jusqu’à 3 mètres et portent de nombreux fruits, de 2 à 3 kilos, en forme de toupie. L’épiderme est généralement de couleur rouge vif à rose : par mutation, il peut aussi être vert ou bronze.

Ce fruit est très riche en vitamines A, B, C, D, E mais également en oligo-éléments (phosphore, calcium, magnésium, fer, potassium, silicium, sodium…) et acides aminés, acides gras insaturés, en amidon, sucres naturels et carotène.

La conservation de ce fruit est excellente, jusqu’à avril de l’année suivante dans une cave sèche. Plus le fruit est stocké, plus ses teneurs en vitamines et en sucre augmentent.

Sa chair sucrée peut entrer dans la composition de nombreuses recettes culinaires.

Par exemple, pour une soupe, coupez le en 2, retirez les graines et faites le cuire à la vapeur avec la peau. On peut bien sûr faire de très bonnes quiches, tartes ou un joli cake qui enchantera les enfants !

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